Engagement et littérature : le cas particulier d’Albert Camus

littérature

Albert Camus est bien connu pour être l’une des figures les plus marquantes de la littérature française. Cela est dû aux œuvres saisissantes telles que « La Peste », qu’il a créées pour l’aider en temps de guerre. Sa carrière est assurée grâce à ces créations. En 1960, il a écrit le roman inachevé Le Premier Homme alors qu’il était également impliqué dans un accident de voiture. Malgré cette tragédie, il a fini de publier le livre en 1994.

L’enfance : sa principale source d’inspiration 

Albert Camus a grandi en Algérie, où il a été témoin de l’oppression et de la pauvreté qui existent dans le monde. En conséquence, son état d’esprit rebelle a façonné ses méthodes d’écriture. Il a écrit le roman « L’étranger » dans le cadre d’une armée coloniale française. Albert Camus était un essayiste et romancier qui a écrit des pièces de théâtre, des nouvelles et des romans. À Mondovi, un petit village algérien sur la côte près de Tunis que albert camus était né en 1913 le 7 novembre. Il est surtout connu pour ses vignes ainsi que son tabac, l’Algérie étant encore française à l’époque. Les Parisiens créent la commune agricole de Mondovi. De plus, le père du philosophe algérien Albert Camus a travaillé dans le viticole en tant que caviste. La mère d’Albert s’appelait Catherine-Saintes et était d’origine espagnole. Après le décès de son mari, elle n’a eu d’autre choix que de vivre avec ses deux enfants en Algérie, sans son conjoint. Pour répondre aux exigences de la famille, elle nettoyait la maison et effectuait d’autres tâches subalternes. Catherine aimait et s’occupait de ses deux enfants, Albert et Lucien, ainsi que de son oncle Étienne. En raison de la proximité d’un quartier de football bien connu, la famille était heureuse de vivre à Belcourt. C’est la mort de leur père qui a inspiré Albert Camus à écrire son roman « Le Premier Homme ». Le père dans la fiction aide le fils à méditer sur sa tombe. C’est un célèbre choix littéraire d’Albert Camus. Pour plus d’informations sur ses œuvres les plus célèbres, consultez ce lien : lessaintsperes.fr

Les débuts littéraires

Albert Camus était un élève très doué à l’école. Un de ses professeurs, Louis Germain, fut impressionné par ses capacités et lui obtint une bourse. Camus obtient cette bourse en 1924. Elle lui permet de s’inscrire au lycée Bugeaud. Au lycée, il poursuit ses études académiques et apprend auprès d’un de ses professeurs, Jean Grenier, une figure importante de sa vie. Albert a passé du temps chez son oncle après avoir reçu un diagnostic de tuberculose en 1930. Cela lui a permis d’accéder à une grande bibliothèque pleine de livres écrits par des auteurs célèbres de l’époque. En lisant ces livres, il a découvert de nombreuses personnes notables des années 1930. Albert Camus rencontre sa femme Simone Hié en 1934. Cependant, il ne se doutait pas que son mariage durerait à peine deux ans. Auparavant, camus avait déjà publié des articles dans des revues en 1932. Pendant son temps comme membre du parti communiste de 1935 à 1937, il a fait campagne pour les mouvements antifascistes. Camus a produit des pièces de théâtre dans une compagnie de théâtre avec d’autres membres du parti communiste. Il a également écrit de nombreuses pièces du Théâtre du Travail, c’est ainsi qu’il s’est impliqué dans la production des spectacles. Son premier manuscrit publié était une publication philosophique publiée en 1937. Toujours en 1937, il est diplômé de l’université avec un diplôme en philosophie. Albert fait la connaissance de Claude Fréminville après avoir travaillé comme assistant météorologique en 1938. Cela conduit à la création des Éditions Cafres par les deux hommes en 1939.

Le conflit et les premiers succès

Albert Camus travaille pour « Soir Républicain » et « Alger Républicain » entre 1938 et 1940. Il décide de s’installer à Paris après avoir fait partie de la rédaction de chaque publication. Après avoir travaillé comme secrétaire à « Paris Soir » en mars 1940, il y devient journaliste. Comme Camus souffrait d’une mauvaise santé, il ne pouvait pas participer à la guerre lui-même. Mais il n’a jamais cessé d’écrire, comme les soldats et les écrivains ; ses seuls outils de combat étaient ses paroles. Camus a épousé Francine Faure, une collègue, le 3 décembre. Ils sont retournés dans la ville natale de Francine, Oran, pour la cérémonie. Après la cérémonie, Albert a comme engagement de reconstituer sa troupe de théâtre et Camus a fourni des services d’enseignement suppléant en tant qu’originaire d’Oran. En raison de sa mauvaise santé, Camus doit rentrer en France en 1942. Cette même année, il diffuse l’un de ses ouvrages les plus importants, intitulés L’Étranger. En 1942, il publie un autre titre sous son nom : « Le mythe de Sisyphe ». Ses deux livres suivants sont sortis en 1944 et 1945 ; c’étaient « Caligula » et « Malentendu ».

La Peste : l’ouvrage de référence

L’ouvrage « La Peste » de Camus lui a pris 5 longues années entre 1943 et 1946. Avant cela, l’écrivain a travaillé pour un réseau de résistance appelé « Combat » qui est devenu un journal en 1943. Les critiques et le succès sont venus rapidement après la sortie du livre, ce qui a surpris Camus. Le livre s’est vendu à plus de 52 000 exemplaires depuis sa publication en 1951. Son succès a été renforcé par la sortie d’autres ouvrages de Saint-Exupéry, notamment des pièces de théâtre, des livres et des essais. De plus, ses collections d’articles se sont avérées populaires auprès des acheteurs. Camus a continué à écrire des pièces après la guerre en 1947, y compris son chef-d’œuvre de 1956 « La chute ». Il a reçu le prix Nobel de littérature en 1957 ; avant cette année, il avait déjà accumulé quatre autres récompenses. Il considérait le théâtre comme un refuge contre son travail d’écrivain. Selon lui, c’était parce que cela offrait de nouveaux défis à sa durée d’attention.

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